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#JeNeSuisPasUneData-Découvrez ce qu’ils savent sur vous…

JeNeSuisPasUneData - Avec l'UFC-Que Choisir, reprenez le contrôle de vos données personnelles - Action UFC-Que Choisir - UFC-Que Choisir

L’association UFC-Que-Choisir viens de lancer officiellement la campagne de mobilisation #JeNeSuisPasUneData.

Quelles sont les données dont disposent les sociétés? Comment les exploitent-elles et sous quelles formes? Que faire pour effacer mon numéro de téléphone des bases de données de Facebook? Comment éviter d’apparaître dans des moteurs de recherche comme Google?

LA MISSION DE CETTE CAMPAGNE EST de répondre à ces différentes questions en découvrant précisément quelles données personnelles les plateformes collectent, mais aussi et surtout d’exercer vos droits grâce à un outil innovant et gratuit.

Vous pouvez découvrir la campagne en cliquant ICI et utiliser l’outil innovant sur vos données personnelles.

N’hésitez pas à la relayer autour de vous en partageant le post sur vos réseaux sociaux.

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Fraude à la carte bancaire !!

Fraude à la carte bancaire : Le total de la fraude en 2020 = 1,2 Milliards d’euros. Tout type d’opération qui permet à un tiers de prélever de l’argent sur vos comptes  en ce faisant passer pour votre conseillers bancaire .

Les consommateurs son les principales victime de fraudes. L’article L133-18 du Code Monétaire et Financier prévoit le remboursement par les établissements de prestation de service de paiement …

Alors que les paiements par carte bancaire « sans contact » et par Internet se sont imposés avec la crise sanitaire , l’ UFC-Que-Choisir rend publique une enquête exclusive qui montre que 30 % des fraudes ne sont pas remboursées par les banques. En conséquence, et devant le risque accru d’escroqueries, l’association saisit les pouvoirs publics pour obtenir des dommages et intérêt dont le consommateur possède des droits . Parallèlement, elle met à leur disposition des outils pour les accompagner dans leurs démarches pour se faire rembourser.

La fraude bancaire, qui consiste à débiter les comptes des consommateurs en détournant leurs moyens de paiement, a de beaux jours devant elle avec la crise. Inquiets quant aux risques sanitaires, les Français se sont reportés vers des moyens de paiement dématérialisés pour régler leurs dépenses, comme le montre la progression du paiement « sans contact » (+ 67 %) ou à distance (+ 13 %) depuis le déconfinement

Ces nouvelles habitudes ne sont pas sans danger. En effet, elles sont respectivement deux et dix-sept fois plus fraudées que les transactions avec composition du code secret. En conséquence, ces escroqueries pourraient bondirde l’ordre de 20 % pour atteindre plus de 660 millions d’euros en 2020 selon l’estimation de l’ UFC-Que-Choisir

Enquête UFC-Que-Choisir : 30 % des fraudes non remboursées

Alors que les banques sont en retard pour la sécurisation des transactions à distance, une nouvelle enquête à étais menée pas l’ UFC-Que-Choisir. Elle pointe les manœuvres pour  échapper à leur obligation de rembourser les sommes dues aux victimes. Il en ressort ainsi que près d’une personne fraudée sur trois n’a pas été remboursée cette année (30 %, + 4 points). Avec comme premier motif opposé aux consommateurs, les accusations de négligence.

Cependant, dans la grande majorité des cas, cet alibi ne tient pas la route. En raison du risque de détournement du code SMS lui-même (3D-Secure) pour l’authentification du paiement à distance, ce dispositif n’est plus considéré commesuffisamment sécurisé. Dès lors, comme l’a confirmé le président de la Banque de France, à la demande de l’ UFC-Que-Choisir, les banques qui continuent à n’utiliser que cette technique dépassée ne peuvent plus invoquer la négligence de leurs clients pour refuser le remboursement. Les consommateurs n’ont pas à payer au nom du retard technologique de leur banque !

L’étude montre également la persistance de pratiques qui visent à décourager les consommateurs dans leurs démarches. A cet égard, plus d’un sondé sur quatre (26 %) a dû se plier à une kyrielle de formalités pour démontrer sa bonne foi . En conséquence, au sein de notre échantillon, le délai moyen de remboursement s’allonge de quatre jours pour atteindre 25 jours, un comble alors qu’il devrait intervenir, selon la loi, au plus tard le premier jour ouvré suivant le signalement de la fraude!

Paiement par carte bancaire « sans contact » : un risque à maîtriser d’urgence

L’analyse des statistiques de la Banque de France permet enfin de mettre en évidence les fraudes liées au « sans contact ». A l’occasion du déconfinement, les consommateurs se sont vu imposer une augmentation systématique du plafond du paiement « sans contact » à 50 euros, sans pouvoir s’y opposer. Pourtant, la sécurité de cette technologie est préoccupante puisqu’elle expose à des fraudes plus nombreuseset de montants plus élevés. Pire, faire opposition à sa carte bancaire en cas de vol ne permet pas d’y échapper. En effet, tant que le plafond de paiements sans contact successifs n’est pas atteint (jusqu’à cinq opérations ou un montant cumulé de 150 euros), cette fonction demeure utilisable, puisque le code secret n’est pas demandé et que la carte n’a pas à se connecter au réseau de la banque émettrice. Il est dès lors indispensable de rendre aux consommateurs le contrôle sur ce mode de paiement.

Nous en tant qu’ UFC-Que-Choisir

En tant qu’adhérent à l’ UFC-Que-Choisir, peut-être êtes-vous un jour venu rencontrer un de nos conseillers pour vous aider dans votre démarche de demande de remboursement, auprès de votre banque, d’un paiement en ligne ou de virements frauduleux, remboursement que votre banque vous a auparavant refusé.

Si votre réclamation, soutenue par l’ UFC, aboutit, vous êtes une personne chanceuse. Cependant, si malgré les courriers du conseiller ou votre propre plainte auprès du médiateur de la banque, le remboursement n’a toujours pas été effectué, alors vous êtes manifestement en colère. Sachez que vous n’êtes pas le seul dans ce cas ! Cependant, constatant de trop nombreux abus de la part de plusieurs banques refusant les remboursements malgré des lois plutôt protectrices des consommateurs, l’ UFC-Que-Choisir vient de décider de porter plainte contre les agissements de 12 de ces points de vente.

PS: merci d’être adhérent à notre association. C’est grâce au montant de votre adhésion et, ainsi, à votre soutien à notre mouvement que notre fédération dispose des moyens qui lui permettent d’entamer ainsi des actions destinées à protéger tous les consommateurs.

Mobilisée au côté des consommateurs durant la crise sanitaire, notamment pour leur permettre de régler leurs dépenses en toute sécurité, l’UFC-Que Choisir :


La fracture sanitaire

UFC - Que Choisir de La Boucle – UFC Que Choisir dévoile la carte de la fracture sanitaire

 

La loi de 2023 sur les caisses de sécurité sociale met en lumière le manque de volonté politique des gouvernements pour permettre un égal accès aux soins pour tous les usagers. Parallèlement, l’association UFC-Que-Choisir met gratuitement à disposition sur son site internet la carte interactive de la fracture sanitaire la carte interactive de la fracture sanitaire, pour que chacun puisse vérifier l’accès aux soins à partir de sa commune et interpeller directement ses parlementaires.

Après les deux premières enquêtes sur les disparités en santé (2012 et 2016), l’UFC-Que-Choisir actualise ses conclusions. S’appuyant sur une méthodologie permettant une description plus précise de la situation, leur analyse s’appuie sur l’éloignement géographique et le nombre de médecins et les tarifs calculés (assurance sociale ou franchise) pour chaque commune de l’aire métropolitaine française.

 

 

 

Présence physique du médecin : Une situation alarmante pour les professionnels, notamment les pédiatres !

L'UFC-Que Choisir dévoile la carte de l'intolérable fracture sanitaire - Les pouvoirs publics vont-ils enfin agir pour la résorber ? - Action UFC-Que Choisir - UFC-Que Choisir

 

 

L’accès aux soins de santé urbains est particulièrement difficile pour les professionnels. Si l’on considère les soins médicaux à moins de 45 minutes en voiture, on constate que 19,0 % des habitants du pays (soit 12,3 millions de personnes) vivent dans le désert des soins oculaires. Dans ce contexte, la situation des obstétriciens-gynécologues est encore pire, avec 23,6 femmes vivant dans le désert médical à cause de cette spécialité. Et avec plus de 27,5 enfants vivant dans le désert pédiatrique, la triste palme de la pire répartition des spécialistes revient aux pédiatres.

Si les équipements médicaux sont moins importants pour les médecins généralistes (2,6 % de la population), la situation est tout aussi préoccupante puisque 23,5 % des usagers ont du mal à joindre ce lien en moins de 30 minutes.

 

 

Médecins en dépassements d’honoraires !

L’intérêt de l’approche de l’UFC-Que-Choisir quant à l’accès aux soins est de se mettre concrètement dans la situation des usagers. Les honoraires facturés par les médecins sont également pris en compte. En fait, c’est un critère important pour les utilisateurs. En effet, le frein économique est la première explication (29 cas) de l’abandon des soins (3).

Mais la pénurie de médecins augmente à un rythme inquiétant, compte tenu du simple accès à des médecins qui ne paient pas des honoraires élevés. Le pourcentage d’enfants vivant dans le désert de guérison des enfants est passé à 46,8% (+19,3 points) et le pourcentage de femmes vivant dans le désert de guérison gynécologique est passé à 66,8% (+43,2 points). La proportion de la population vivant dans les déserts ophtalmologiques passe de 1 à 3 ou plus (62,8% soit +43,8 points).

La combinaison des aspects géographiques et financiers de l’accès aux soins souligne le fait que les déserts médicaux touchent aussi bien les zones rurales qu’urbaines, contrairement aux idées reçues.

L'UFC-Que Choisir dévoile la carte de l'intolérable fracture sanitaire - Les pouvoirs publics vont-ils enfin agir pour la résorber ? - Action UFC-Que Choisir - UFC-Que Choisir

 

Considérant que 46,9 % des pédiatres, 64,3 % des ophtalmologistes et 68,6 % des obstétriciens-gynécologues sont au-dessus de leur rémunération (ce nombre est en forte hausse depuis 2016),

De ce fait, l’UFC Que Choisir, dans toutes ses composantes (fédérations et fédérations locales), dispose aujourd’hui de législateurs pour :
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Selon les cas, créer des accords régionaux qui ne permettent pas aux médecins de s’installer dans les zones mal desservies autres que le secteur 1 (frais de sécurité sociale) (médecins retraités ou en très grave pénurie de médecins).
Accès étroit au secteur 2 (sans frais), source de dépassements incontrôlés. Les nouveaux médecins n’ont qu’à choisir entre l’option sans dépassement secteur 1 et l’option à frais contrôlés (OPTAM) qui réglementent les frais de dépassement.
Suppression des subventions publiques pour les médecins qui ne respectent pas les tarifs de la sécurité sociale, sauf pour l’OPTAM.


#AfficheTonNutriScore Face à la mauvaise volonté de grandes marques, une campagne nationale pour rendre le Nutri-Score obligatoire

 

LE NUTRI-SCORE: Arrêtons d’avaler n’importe quoi…

Alors que la Commission européenne doit déterminer avant la fin de lannée le modèle détiquetage nutritionnel simplifié européen, lUFCQue Choisir via la grande campagne nationale « Affiche ton NutriScore » menée avec ses Associations Locales, dénonce sur le terrain les marques qui ne jouent toujours pas le jeu de la transparence. Soucieuse de permettre aux consommateurs de pouvoir com-parer aisément et systématiquement les qualités nutritionnelles des produits alimentaires de même nature, lassociation appelle plus que jamais la Commission européenne à résister aux fauxarguments du lobby agroalimentaire contre le NutriScore et à le rendre obligatoire.
CocaCola, Ferrero, Lactalis, Mondelez une déplorable opacité maintenue par 40 % des marques

Favoriser la comparaison permet dorienter vers des produits plus sains et de lutter contre les allégations marketing

Une grande campagne pour rendre le NutriScore obligatoire
Ainsi, soucieuse de faire du NutriScore le modèle détiquetage nutritionnel obligatoire partout en Europe,
lUFCQue Choisir :

Presse la Commission européenne de rendre obligatoire le NutriScore ;

Invite les consommateurs à consulter sa page dédiée au NutriScore sur le site quechoisir.org et à
interpeller directement, via celleci, la Commission européenne sur les réseaux sociaux ;

Rappelle quelle met à la disposition des consommateurs lapplication mobile gratuite et collaborative QuelProduit (iOS et Android) afin de leur permettre de calculer le NutriScore des produits le cachant, et les orientant vers les produits les plus sains.

Un nutri-score A,B, ou C sont de bonnes notes. Rappelons par ailleurs que les étiquettes D et E ne signifient aucunement que les denrées concernées doivent être bannies, mais qu’il faut les consommer en quantité modérée et à une fréquence raisonnable.