UFC-Que Choisir Toulon

AFFAIRES GAGNÉES

Litige gagné : Annulation commande de panneaux solaires

Litige gagné et beau geste de CASTORAMA

LITIGE GAGNÉ : LES OPÉRATEURS TÉLÉPHONIQUES ONT DES OBLIGATIONS.

Nous sommes toujours touchés par vos remerciements !

Il aura fallu notre intervention pour que Darty respecte la loi.

Litige gagné: Un canapé plus fragile que la soie…

Litige Gagné : Le garagiste méconnaissait la législation sur la vente de véhicules d’occasion !

LITIGE GAGNÉ: Retenue abusive d’arrhes ou acomptes

AFFAIRE PERDUE., mais bon à savoir.

MOBALPA : « des meubles de fabrication française pour durer »

Cette phrase relevée sur le site de MOBALPA mériterait d’être complétée comme suit :

« MOBALPA, des meubles de fabrication française pour durer moins de 13 ans ».

En effet , notre adhérente  a eu la mauvaise surprise de constater que les façades des meubles de sa cuisine se décollaient 13 ans après son achat.

Nous avons sollicité   le service client de  MOBALPA pour que notre adhérente obtienne une prise en charge partielle de la remise en état.

Malgré notre insistance, MOBALPA   a refusé toute prise en charge « rappelant que la cuisine de sa cliente n’est plus garantie depuis 7 ans »

CV –

septembre 2024

 

 

 

La DIAC est intraitable mais le garagiste est bienveillant

Une jeune femme loue en LEA avec la DIAC sur 49 échéances un véhicule une RENAULT TWINGO d’occasion valant 12000 €.

Elle décède quelques mois après.

Le père de cette jeune femme harcelé par la DIAC pour poursuivre les paiements se rend compte qu’il a pensé signer en tant que caution un document qui le désignait en réalité comme colocataire.

La DIAC ne voulant rien entendre au sujet de l’erreur et du décès, le père s’adresse à UFC QUE CHOISIR qui prend contact avec la DIAC et avec le garagiste vendeur, lequel comprenant la situation, accepte de reprendre le véhicule et de s’arranger avec la DIAC.

MN

septembre 2024

 

 

CASTORAMA s’honore après s’être déshonoré par la désorganisation de son SAV

Monsieur G… acquière chez CASTORAMA en 2017, un poêle à pétrole pour 399 €, qui tombe en panne en 2023.

L’appareil n’étant plus sous garantie, le SAV de CASTORAMA lui facture 138 € et l’adhérent récupère le poêle « réparé » 3 mois après.

Remis en service, il appert que le poêle est dans le même état et produit toujours autant de fumée noire qu’auparavant.

Retourné au SAV en 1/2024, 3 mois passent sans qu’il réapparaisse en dépit des très nombreuses relances du client qui réclame son appareil.

MN

septembre 2024

 

 

LES OPÉRATEURS TÉLÉPHONIQUES ONT DES OBLIGATIONS :

Notre adhérente, Mme X, habitant Ollioules rencontre  un problème avec sa Bbox. Depuis quelques temps il ne lui est plus possible de connecter les décodeurs de sa Bbox ce qui a pour effet de ne plus lui permettre de regarder sa TV. Ce qui, reconnaissons-le, lui provoque de grands désagréments.

Contacté par ses soins, Bouygues Télécoms envoie un technicien qui répare le dysfonctionnement mais dès le lendemain ça recommence. Entre temps, Mme X reçoit une facture  correspondant au passage du technicien.

L’impossibilité de regarder la TV perdurant, Mme X ne souhaite pas régler la facture et veux trouver une solution à ses désagréments.

Pour résoudre ses problèmes Mme X se rend à l’UFC Que Choisir de Toulon, le conseiller contacte Bouygues Télécoms et expose la situation en leur rappelant leurs obligations juridiques.

Bouygues Télécoms accepte de ne pas facturer le passage du technicien et positionne un remboursement de 78,97€ correspondant à trois mois d’abonnement et à deux mois de l’option « décodeur en wifi ».

Affaire résolue sur le plan juridique, quant au plan pratique, un électricien doit intervenir pour qu’enfin Mme X puisse regarder sa TV.

JCS – Avril 2024

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LE CONSOMMATEUR NE BÉNÉFICIE PAS D’UN DROIT DE RÉTRACTATION POUR UN ACHAT FAIT SUR LES FOIRES :

Cette disposition légale est souvent opposée aux imprudents qui, de retour de à leur domicile après un achat impulsif, souhaitent revenir sur leur décision.

Certes le vendeur est dans son droit, mais tout n’est pas toujours perdu.

Sur  foire, un adhérent a remis un chèque de 1 600€ en acompte pour une installation de panneaux photovoltaïques de             22 000€. Il souhaite dés le lendemain revenir sur sa signature.

Avec notre concours, il obtient l’annulation de sa commande et le retour de son chèque d’acompte au vu de l’argument suivant : le consentement à la commande par le consommateur doit être éclairé.

Dans le présent cas, aucune visite sur place d’un technicien, ni aucun photomontage présentant l’aspect de la toiture après installation n’a pu renseigner suffisamment l’acheteur sur l’impact esthétique du projet.

Notre recommandation :

Même si le vendeur vous fait miroiter un « prix foire » ne vous lancez pas dans une commande importante sans avoir obtenu auparavant des devis de concurrents vous permettant une comparaison.

CV 23/04/2024


ATTENTION AUX DÉMARCHEURS DE COUVERTURE DE TOITURE !!!!

Nous constatons une recrudescence d’escroqueries pratiquées par des entreprises de couverture.

Des démarcheurs vous alertent sur l’état de votre toiture et de son étanchéité.

Dans l’urgence, ils vous établissent un devis que vous acceptez.

Le régime de liberté de prix vous condamnerait à payer ces travaux, même  si le tarif pratiqué est exorbitant.

Tout n’est pas perdu : notre adhérent nous soumet le devis signé dans lequel nous relevons des non respects du code de la consommation.

Il obtiendra après intervention de notre conseiller, un remboursement de 3000€ sur les 8000€ versés.

CV Avril 2024


LE LOUEUR AVIS MULTIPLIE LES DÉBITS POUR LE MÊME SERVICE…

Monsieur M. loue un véhicule chez AVIS en gare d’Abbeville. Il s’aperçoit qu’il a été prélevé 2 fois du même montant et adresse une demande de remboursement en RAR qui reste lettre morte.

Il s’adresse à nos conseillers et à l’analyse de ses documents il s’avère que ce sont en réalité 3 débits qui ont eu lieu pour le même motif. Contacté par téléphone AVIS se permet de n’accepter aucune discussion téléphonique et demande un courrier RAR.

QUE CHOISIR s’exécute en exigeant non seulement le remboursement des sommes indument prélevées mais en outre le remboursement des frais de RAR, ce qui est obtenu au profit de notre adhérent soit 306 euros.

MN


CHEZ BUREAU VALLE UNE EMPLOYÉE TROP ZÉLÉE

Madame C. acquière une imprimante multi jet pro 8025 HP chez BUREAU VALLEE

A peine 16 mois après, l’imprimante connait une série de pannes. De multiples démarches et retours en SAV la privent de son imprimante, jusqu’au diagnostic sans appel, tête de l’imprimante morte, or cette pièce ne se change pas sur ce modèle.

Madame C. tente à de multiples reprises de faire reconnaitre la Garantie légale de conformité,sans succès, auprès de l’employée qui se permet même d’ironiser sur la demande exorbitante de notre adhérente…

Son métier exigeant la possession d’une imprimante, elle rachète une HP MULTIJET chez BOULANGER et en parallèle décide de nous confier son litige qui l’a outrée.

Nous adressons un mail au directeur de l’enseigne BUREAU VALLEE et dès le lendemain notre adhérente obtient une imprimante multi jet pro 8025 HP neuve.

MN


CASTORAMA NE GÈRE PLUS SES LIVRAISONS

Monsieur C. commande chez CASTORAMA la fourniture et la livraison de caissons complets avec portes et quincaillerie, pour installer sa cuisine.

La livraison est obligatoirement effectuée au domicile, impossible de demander un retrait au dépôt.

Successivement, notre adhérent reçoit 4 fois des portes et panneaux de finition abimés qu’il est obligé de refuser. Face à cette situation ubuesque que personne ne semble pouvoir débloquer (…), CASTORAMA va même jusqu’à proposer au client un remboursement pur et simple, ce que Monsieur C. refuse puisque les autres éléments sont déjà en place et le modèle est spécifique à CASTORAMA.

Perdu, l’adhérent nous contacte et après une première intervention restée vaine, nous démontrons le gâchis que représentent toutes ces livraisons défectueuses et obtenons que notre adhérent puisse aller récupérer sa nouvelle commande en magasin, donnant ainsi pleine satisfaction à Monsieur C.


DES MOUSTIQUES BIEN RECALCITRANTS

Monsieur H. séduit et peut être trompé par une publicité très optimiste, acquière un aspirateur à moustiques QISTA dont il constate l’inefficacité sur les moustiques tigres, les seuls présents dans sa propriété.

Après changement de produits de CO2, sans amélioration, l’aspirateur tombe en panne totale. Malgré des promesses de rappeler non honorées, deux LRAR, QISTA ne se manifeste pas.

Interpellés par notre adhérent, nous constatons que d’autres acheteurs de ce matériel connaissent la même mésaventure à propos de l’inefficacité de ce matériel sur le moustique tigre, pourtant commandé par des mairies séduites elles aussi par la publicité.

QISTA ayant probablement redouté la constitution d’une action de groupe, a accepté la reprise du matériel et son remboursement complet à notre adhérent, soit 1641 euros.

MN


GO VOYAGE RECONNAIT SA MALADRESSE

Monsieur S. réserve un séjour en Afrique du sud, vols et hôtels pour 2800 €.

Le jour du départ à l’aéroport, il apprend que sa réservation est annulée !

N’ayant pas l’intention de rentrer bredouille chez lui, il reprend une réservation à l’aéroport sur un autre vol le lendemain et engage des frais pour la nuit.

GO VOYAGE lui rembourse sans beaucoup d’explications 1500 € et ce n’est qu’après notre intervention qu’il reçoit un complément de 1280 € avec l’explication de l’origine de l’annulation, à savoir, une mauvaise manipulation de la part de l’employée devant rectifier un trop facturé pour une nuit d’hôtel.

MN


L’ASSUREUR D’UN TELEPHONE MOBILE REFUSE LA PRISE EN CHARGE  LORSQUE LES DOMMAGES NE SONT VISIBLES QUE SUR LA COQUE  ET NON SUR LE MOBILE?

Assurance smartphone : notre comparatif pour choisir la meilleure au bon prix - CNET France

Notre adhérente Mme E.F. possède un téléphone portable qu’elle a fait assurer contre la casse auprès du courtier en assurance SPB. Lorsque son appareil chute accidentellement au sol, elle déclare le sinistre à son courtier qui refuse la prise en charge au motif qu’il n’y a pas de dommages visibles extérieurement sur l’appareil. En effet c’est la coque de protection qui a subi le choc et a été gravement endommagée: le portable lui n’a pas de marque grâce à la coque mais ne fonctionne plus correctement après ce choc.

Saisie par notre adhérente qui conteste le refus du courtier, notre association écrit à ce dernier en lui faisant deux observations pertinentes:

  • Une coque rigide est un dispositif de protection qui est de nature à réduire l’étendue et la gravité des dommages au portable en cas de choc et permet donc de limiter les frais de réparation dans la plupart des cas. Ici, il est probable que la coque a évité la destruction totale du téléphone. Lorsque l’appareil est garanti, c’est l’assureur qui tire avantage de cette protection, il apparaît donc paradoxal et totalement inéquitable de refuser la garantie avec un tel argument…
  • Ensuite nous faisons remarquer que si les conditions générales du contrat exigent la présence de dommages extérieurement visibles pour justifier du choc elles n’imposent pas que ce soit l’appareil lui-même qui en porte les marques.

Il faut donc en déduire que les dommages à la coque satisfont aux conditions du contrat. Après un temps de réflexion, inutilement long, l’assureur se range à notre avis et accepte de prendre le portable en réparation. De fait, le contrat garantissait bien un tel évènement, le refus de garantie était totalement injustifié. Ce type de litige est donc très révélateur de la malhonnêteté dont peuvent faire preuve certains professionnels de l’assurance.

JCS Mars 2024


ATTENTION À LA REPRISE DE VOTRE VÉHICULE DESTINE A LA CASSE. L’INDÉLICATESSE DU GARAGE PEUT COÛTER CHER !

En quoi l'entretien au garage est-il nécessaire ? – Auto légende

Madame B. acquiert en août 2020 un véhicule d’occasion chez un garagiste de Toulon qui lui reprend son ancien véhicule pour la casse en échange de la remise de sa carte grise. Un an plus tard, elle est prélevée de 1125 € sur son compte bancaire par la trésorerie des Alpes-Maritimes pour infraction routière à Menton avec production de tous les éléments correspondant à celle-ci. Problème : le signalement correspondant au véhicule repris « pour la casse » par le garage.

Accablée, notre adhérente commence par se battre auprès de l’administration pour tenter d’obtenir la restitution des sommes, sans succès. Elle consulte alors I’UFC QUE CHOISIR de Toulon qui rédige un modèle de courrier recommandé avec avis de réception à adresser au garagiste indélicat pour exiger le remboursement des sommes prélevées par la trésorerie. Mis devant les arguments développés et sa responsabilité, le garagiste s’exécute immédiatement et rembourse notre adhérente sans discussion.

JG


L’importance de la vérification des garanties

En accompagnant une adhérente dans la gestion d’un problème de surendettement après le décès de son mari, nous avons étudié l’ensemble des documents présentés. Nous avons porté notre attention sur un refus de l’assureur du crédit à la consommation de prendre en charge le remboursement du crédit souscrit par le mari décédé de l’adhérente.

Le refus de l’assureur avait été motivé par le fait que la maladie du mari provocante le décès fait partie des maladies exclues de la garantie décès selon le contrat.

Donc, nous avons demandé à l’assureur de nous présenter une preuve de l’exclusion de cette maladie de la garantie.

Après vérification, l’assureur est revenu sur son refus et il a accordé à notre adhérente le remboursement de crédit 7000 euros.

MB 24/5/2024

 

 

 

 

 

 

 

 

ANNULATION DE CROISIÈRE, ON NE S’AMUSE PLUS !

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Monsieur F. réserve une croisière chez Costa Croisières du 15 au 22 mai 2020 et verse un acompte de 700 €. Le projet est annulé en raison du confinement et Costa Croisières adresse un avoir à notre adhérent dès le 25 mai 2020.

Depuis lors et en dépit des très nombreuses demandes de remboursement de l’avoir par notre adhérent, aucune réaction de Costa Croisières.Consulté en mars 2022 et suite au mail que nous adressons à Costa Croisières, notre adhérent est remboursé le 1er avril 2022 de 700 € sur son compte bancaire.

MN


LORS D’UNE INVITATION COMMERCIALE, MÉFIANCE DE RIGUEUR !

M. X a été contacté par téléphone. On lui offrait un carton d’invitation pour gagner des prix en assistant à une réunion dans un restaurant à la Garde. Lors de cette réunion, le carton d’invitation lui a été demandé et bien sûr récupéré. Il y eut une démonstration de matelas. Notre adhérent en commanda un et le soir même la personne vint lui apporter le matelas à son domicile. Une facture fut remise et M. X établit 10 chèques de 290€.

Mais après réflexion de notre adhérent réalisa que cet achat ne correspondait nullement à ses besoins et que l’achat faisait suite à un débit du présentateur presque discontinue, ne laissant pas place à la réflexion. Consulté, le conseillers UFC a établie un contact téléphonique immédiat avec la société Maceven, confirmé par un courrier RAR. La société Maceven a accepté la reprise du matelas ainsi que la restitutions des 10 chèques et a eu la délicatesse de ne pas demander la restitution des cadeaux offerts lors de la réunion.

Conseil :  faire toujours une photocopie d’une invitation, ce qui vous permettra de prétendre au délai de rétractation

AD


SÉJOUR NON CONFORME CHEZ CARREFOUR VOYAGE

Au cours de la pandémie, notre adhérent M. X a vu son voyage sur mesure de mars 2020, acheté chez CARREFOUR VOYAGE pour un montant de 33 000€, amputé de certains séjours. En outre il s’est vu refuser la remise grand voyageur dont il bénéficie depuis longtemps compte tenu de sa fidélité à l’agence, au motif que cette remise n’existait plus.

Après de nombreuses tentatives de sa part pour faire entendre sa réclamation l’agence ne voulait rien entendre.

Ayant confié son affaire à l’AL de TOULON, et suie à de très nombreux échanges avec le siège de CARREFOUR VOYAGE, notre adhérent s’est vu reconnaître dans ses droits pour près de 4000€, non seulement pour le remboursement des jours amputés dans son séjour, mais aussi pour l’admission à la remise grand voyageur qui n’avait pas disparu.

MN


LE CROIRIEZ VOUS  :

En octobre 2021 notre adhérent arrive au péage de l’autoroute dans le var et trouve la barrière ouverte. En dépit de tous ses efforts pour s’acquitter du montant à l’aide de sa carte bancaire, le lecteur ne fonctionne pas. Il franchi ce péage dont le montant est de 0.80cts.

Quelques jours après il reçoit une amende de 90€ pour cette infraction au code de la route.

Son courrier simple de contestation à Vinci autoroute évoquant sa bonne foi est rejeté et en plus il est menacé d’une amende augmentée à 375€ s’il ne s’acquitte pas des 90€ + 0.80cts dans les délais.

Il consulte notre permanence où le conseiller lui rédige une courrier RAR demandant les photos de son passage le montrant en train de tenter de régler à l’aide de sa carte bancaire à plusieurs reprises.

Vinci autoroute reconnait alors son erreur et ne réclame plus que un chèque de 0.80cts.